BIOGRAPHIE
LE LOVE LAB
1er ALBUM 17 janv.2025
[ MUSIQUES HYBRIDES / INOUÏE DISTRIBUTION ]
Enregistré dans la ville des lumières et de l’amour, Le Love Lab du trublion de la chanson et des musiques électroniques, Olaf Hund, (connu pour ses multiples casquettes, depuis plus de vingt ans dont celle du fameux Nicolas Police en 2007), sort son premier album éponyme, y explore toutes les facettes de la chanson à deux avec pour fil conducteur, la voix d’Olaf Hund, auteur, compositeur et producteur de ce disque mais aussi, ici, enchanteur de charme aux accents Gainsbouriens.
Une douzaine de titres nés de rencontres, de rêveries érotiques et spirituelles, enregistrés dans les studios parisiens de Musiques Hybrides à Belleville, un voyage cinématographique, dans les méandres des étapes du deuil et de l’amour.
Pop, electro, chanson, les mélodies du Love Lab, sont co-arrangées avec Kid Loco, figure du trip hop.
Sensualité sonore, Le Love Lab explore tous les sens, même sous l’eau ! En introduction de ce Love album, L’amour sous la mer, clin d’oeil à l’été indien de Joe Dassin, interprété avec Mysko (inspiratrice de la majeure partie des chansons…).
Mais la star de ce Love Lab, c’est évidemment Diane Tell, rencontrée au fil des collaborations notamment deux remixes audacieux de son inoubliable tube des années 80, Si j’étais un homme, avec la musicienne québécoise, Olaf Hund, amoureux galant, épouse la voix de Diane Tell, sur plusieurs chansons. L’aventureuse, Jusqu’à ton coeur, inspirée d’une citation de Clara Baum, « Je bande jusqu’à ton coeur » (qui serait un cadeau de Philippe Léotard à…), le très lumineux single,Tout change toujours et l’entrainant Je fais sans toi.
On revisite le Tango en caribéen, avec la voix de Sabine Happard, repérée grâce à ses compositions pour Christophe.
Le Love Lab, ce ne sont pas que des duos masculin-féminin mais aussi féminin-féminin. Rimoushka et Sabine Happard se répondent sur Ne m’attends plus, l’histoire d’une amitié qui se rompt comme une histoire d’amour.
L’humour s’immisce subtilement sur le jazzy Cocons où Olaf joue des sonorités pour exprimer la solitude d’un sentiment isolé à deux, avec Mysko (clin d’oeil à leur récente rupture amoureuse) ou encore le langoureux, tantrique hip hop, Si tu respires, avec Essy.
Durant la deuxième partie du disque, le sentiment prend un tournant hallucinogène avec le slow un poil ironique, Juste un peu en duo avec la chanteuse et compositrice Alice Lewis suivi du cosmique Ataraxie avec Agnès Aokky. Plus loin, au détour d’un chemin onirique, on retrouve Louise Vertigo et Mysko dans l’incandescent La lumière sous les arbres.
Et, fin du voyage psychédélique avec Ava’s Verden, Tout en toi, un titre sombre, clôt l’album sur des voix délicates, l’amour ne meurt jamais, il est l’essence absolue de la vie.