EL COMUNERO

Avec Comme un ours – son précédent spectacle mis en scène par Nicolas Bonneau – Alexis HK est sorti de la torpeur et de la solitude pour se diriger vers la couleur, le jeu, et l’expérimentation. Dans son nouvel album Bobo Playground, l’auteur, compositeur et interprète s’interroge sur ce bonheur qu’on recherche tous, et s’inquiète déjà de le perdre alors qu’il y goûte à peine.   Qu’on soit un vieux rappeur, un jeune homme de 18 ans, un chevalier raté, une maman sur Tinder ou Donald Trump, on a tous le droit à 15 minutes de bonheur… avant de sombrer de nouveau !   L’auteur à la plume joueuse et toujours aiguisée s’amuse d’une production frôlant le hip-hop et garde ce qui le caractérise depuis toujours : un goût exquis de la langue, une mise en bouche gourmande, précise et inspirée et un regard sociologique singulier sur le monde actuel. Une nouvelle fois accompagné par Nicolas Bonneau à la mise en scène et trois musiciens complices à ses côtés, Alexis HK nous revient avec un style unique à la croisée du conte, du one man et du concert.

BIOGRAPHIE

RAICES y SEMILLAS

18 NOVEMBRE 2022

[ TU VEUX QU’ON EN PARLE / L’AUTRE DISTRIBUTION ]

RAICES Y SEMILLAS… Racines et graines. C’est le titre de ce 5ème opus du groupe El Comunero. Les racines, car comme toujours le groupe choisit de puiser dans le répertoire des chants de lutte d’hier, d’Espagne ou d’ailleurs, pour se les réapproprier et transmettre leurs Histoires. Les graines, car cette fois le groupe a privilégié les compositions originales pour créer son propre folklore et raconter ses propres histoires. En espagnol, toujours, mais aussi en français et en accueillant également, pour la première fois, des interprètes Grecs (Andreas Melas d’Ataxia) ou Russes (Dobranotch) et d’autres invités : Napo Romero (guitariste de Mano Solo), Vincente Pradal, Sylvia Morales d’Azulenca, Simon Barbe (Mouss & Hakim)…
Si les thématiques restent fidèles à l’esprit du groupe, elles permettent aussi d’aborder des questions plus actuelles, comme les autres mondes possibles, les violences policières dans le monde ou l’élaboration de nouvelles solidarités en Argentine pendant la pandémie…

« Il y a dans El Comunero une part de magie de pierre philosophale ; cette capacité à changer la mémoire en or nous la rend si vivante qu’il nous semble qu’au gré d’une chanson nous tenons dans nos bras la belle république, la beauté des justes, la force des utopies. » Pierre Domenges

«Un son frondeur et rageur.» Anne Berthod, Télérama
«Ce répertoire de mélodies populaires dessine une mémoire, un engagement, une fidélité aux combats d’hier et d’aujourd’hui. » Rosa Moussaoui, l’Humanité

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